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Dans les environs - Page 2

  • Cas de coronavirus suspecté à Eupen

    Alors que la Belgique est elle aussi officiellement touchée par ses premiers cas de coronavirus, l’arrondissement verviétois pourrait lui aussi connaître son premier cas. Il y a en effet eu un premier cas suspect de coronavirus à l’Est de la Belgique, rapportait le Grenz-Echo, lundi. Ce qu’a confirmé le Dr Frédéric Marenne, médecin-chef de l’hôpital St-Nicolas d’Eupen.

    Un homme de 65 ans s’était présenté aux urgences de l’hôpital dimanche soir avec les symptômes de la grippe : toux et fièvre. Le cas n’était pas suspect au départ. Mais comme les tests pour les grippes A et B se sont avérés négatifs et qu’il a été en contact avec une personne étant passée par Venise (mais qui n’est, elle, pas tombée malade), l’hôpital lui a fait passer les tests pour le coronavirus. Le Dr Marenne explique avoir fait ça par sécurité. Néanmoins, il met en garde contre un vent de panique.

    Les échantillons du patient suspect ont été envoyés à Louvain dimanche soir. Les résultats étaient attendus ce lundi en début d’après-midi. En début de soirée, les autorités hospitalières eupenoises n’avaient toujours pas été averties. Elles espéraient encore recevoir les résultats avant la fin de la soirée. Mais à 22h35, toujours rien.

    En attendant, le Dr Marenne nous expliquait : « On se prépare. On a

    organisé notre hôpital pour faire face à ce qui va arriver aujourd’hui, demain ou dans une semaine ».

    Toujours dans l’attente de cette annonce, le médecin se disait un brin irrité. Car sans savoir ce qu’il en est, l’hôpital est obligé de maintenir certaines précautions qui gênent son fonctionnement normal. « Et ça a des conséquences incroyables », déplorait le Dr Marenne.

    Dès ce dimanche, par exemple, la salle d’urgence avait dû être fermée pendant plusieurs heures afin d’être désinfectée. 

    L.M., J.D. ET Y.B. dans LA MEUSE VERVIERS du 3 mars 2020

  • Directeur au GP F1 de France

    Un Belge qui a un poste en vue, ce n’est pas tous les jours. Et c’est encore moins fréquent quand il s’agit d’un Verviétois qu’on retrouve aux manettes dans un des postes dirigeants d’un méga-événement comme le Grand Prix de France de Formule 1. Or, c’est ce qui arrive à Alain Charlier, d’Henri-Chapelle.

    Alain Charlier provient d’HenriChapelle. Ses études ne le prédestinaient pas à se retrouver directeur d’exploitation d’un GP de F1 : il est licencié en sciences politiques. Il a effectué ses candis à Namur, puis a terminé par une licence à l’ULB. Encore étudiant, il vient renforcer les équipes au GP de F1 de Francorchamps et s’y fait remarquer par son efficacité. Le voici bientôt homme de confiance d’André Maes, le M. F1 à Francorchamps, très proche de Bernie Ecclestone. La F1 revenue en France en 2018, on pensera dans ce pays à lui proposer de participer à son redéploiement.

    Dans ces fonctions, en Belgique, Alain Charlier a eu l’occasion de croiser des vedettes de la F1. Celui qui l’a le plus impressionné ? Michael Schumacher. « Il avait une véritable aura ». Il pointe aussi Lewis Hamilton et le pilote australien Daniel Ricciardo. « Lui, il illumine toute la pièce par son sourire » Pour autant, il n’a jamais été amené à se glisser dans une F1. « D’ailleurs, je n’ai pas le gabarit : je fais 1m90 et je pèse 95 kilos. Et je n’ai jamais fait de course. Juste une fois du karting ». De plus, « il faut le temps et l’argent… »

    D’une page d’YVES BASTIN à lire dans LA MEUSE VERVIERS du 3 juin 2019

  • Dérapage d'un cortège nuptial

    Samedi un cortège d'invités se rendant à une salle de fêtes pour un mariage turc à Vaals a dérapé. Au moins deux blessés ont été conduits à l'hôpital. Les festivités ont pu avoir lieu, mais hier des citoyens ont interrogé une commission du conseil communal de Vaals au sujet de ces débordements qui ne seraient pas exceptionnels.