Les deux sociétés de logements Nos cités et le Foyer Malmédien s’apprêtent à fusionner. Des gros travaux les attendent.
Un article d'ADRIEN RENKIN dans LA MEUSE VERVIERS du 14 octobre 2022.
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Les deux sociétés de logements Nos cités et le Foyer Malmédien s’apprêtent à fusionner. Des gros travaux les attendent.
Un article d'ADRIEN RENKIN dans LA MEUSE VERVIERS du 14 octobre 2022.
Dans le cadre des actions locales de prévention en vue de réduire la quantité de déchets, Intradel et 70 communes proposent une alternative zéro déchet aux films alimentaires jetables, avec le soutien de la Région Wallonne et de la Province de Liège. Il s’agit d’un film alimentaire réutilisable à la cire d’abeille. Au total, ce sont 40.000 pièces qui ont été distribuées aux communes liégeoises participantes, chargées de les offrir à leurs citoyens.
Réduire sa quantité de déchets est aujourd’hui devenu une évidence, tant pour l’impact économique qu’écologique. Mais il est toujours bon de sensibiliser au maximum la population à cette problématique via notamment des actions menées dans nos communes par le biais d’Intradel, gestionnaire des récoltes. Cette dernière vient d’ailleurs
d’annoncer une nouvelle initiative, ludique et qui vise à réduire la quantité de déchets liés aux emballages à usage unique (aluminium, cellophane, etc.).
À LA CIRE D’ABEILLE
Il s’agit d’un film alimentaire réutilisable, enduit à la cire d’abeille. « Il permet de recouvrir un plat, un bol mais aussi d’envelopper directement les aliments pour les conserver sainement et durablement. Il évite l’utilisation de films alimentaires jetables. C’est un emballage imperméable et respirant à base de cire d’abeille qui est un antiseptique et antifongique naturel. Il protège votre concombre, recouvre vos plats… mais ne remplit pas vos poubelles », détaille Intradel. Et, détail important, ce film alimentaire est aussi… local, puisque sa conception est belge, via la société WRAPI située à Leuze-Eghezée.
Septante communes de la province (dont Aubel et Plombières) vont recevoir ce produit. Au total, 40.000 films réutilisables vont leur être distribués. À chacune de ces communes de les redistribuer à ses citoyens.
ÉMILIE DEPOORTER dans LA MEUSE VERVIERS du 12 novembre 2020
Intradel, c’est l’intercommunale qui traite les déchets. Mais aujourd’hui, elle va plus loin, en s’intéressant également aux objets qui sont toujours en bon état. Une expérience-pilote est en effet menée dans cinq de ses recyparcs (Plombières chez nous, ainsi que BeyneHeusay, Flémalle, Liège-Angleur et Hannut. Ceux-ci accueillent maintenant un espace réemploi, dans lequel les usagers peuvent déposer, sans incidence sur leur quota, tout ce qui est encore utilisable, à l’exception de l’électro.
« En fait, on avait déjà testé le concept dans deux recyparcs l’année dernière, explique-t-on chez Intradel. Vu le succès, on l’étend maintenant à trois autres. »
Pourquoi cet intérêt soudain pour le réemploi ? « Paradoxalement, notre plan stratégique a pour objectif le zéro déchet. L’idée, c’est d’implémenter cette politique dans tous nos secteurs d’activité. Ici, le but, c’est de permettre aux usagers de déposer des objets toujours en bon état mais dont ils veulent quand même se débarrasser rapidement. On veut expliquer aux gens que, si ça peut encore servir, il ne faut pas en faire un déchet. »
L’intercommunale en est consciente, des alternatives existent, notamment via des groupes de vente ou d’échange sur les réseaux sociaux : « C’est vrai qu’on ne réinvente pas la roue, on sait que beaucoup revendent via Market Place, on veut juste proposer une offre supplémentaire. Sachant que l’avantage, c’est qu’on peut se débarrasser tout de suite de ces objets dont on ne veut plus, on ne doit pas attendre qu’un acheteur se manifeste. »
Tous ces objets encore utilisables sont confiés à des partenaires extérieurs, qui les remettent ensuite sur le circuit, immédiatement, ou après les avoir quelque peu transformés au besoin. « S’ils ne sont plus de première jeunesse ou légèrement abîmés. » Cet espace réemploi pourrait, à l’avenir, être étendu à d’autres recyparcs. Mais pas à tous : « Ce n’est pas une question de manque de volonté, termine-ton chez Intradel, mais de manque d’espace. Il faut que le parc soit relativement grand.
G.W. dans LA MEUSE VERVIERS du 16 octobre 2020
Nos Cités, anciennement Nosbau, se voit, elle aussi, attribuer un subside de 3.502.500 euros qui servira à la rénovation d’une centaine de logements. « Ils sont principalement situés sur le territoire des communes de Plombières et Welkenraedt, où nous comptons le plus grand nombre de logements », explique Lambert Demonceau, le bourgmestre de Thimister et président du conseil d’administration de Nos Cités. « Ces travaux de grande ampleur s’étaleront sur plusieurs années mais pour l’automne, nous rentrerons une liste avec les logements à rénover », indique le président qui souligne que « cela fera probablement du bien au secteur et aux entreprises qui souffre actuellement de la crise du coronavirus ».
Outre la relance économique, c’est au portefeuille des locataires que ces rénovations devraient faire du bien. « Si notre parc est encore en relativement bon état, beaucoup de logements ont été construits dans les années 70-80, lorsque les questions de consommation énergétique ne se posaient pas encore. Il est primordial pour nous d’entretenir le bâti existant avant d’envisager d’autres projets novateurs », conclut Lambert Demonceau.
D'une page de FRANÇOISE PEIFFER à lire dans LA MEUSE VERVIERS du 17 juillet 2020
La zone de secours Vesdre, Hoëgne et Plateau (qui couvre les communes d’Aubel, Baelen, Blegny, Dalhem, Dison, Herve, Jalhay, Limbourg, Olne, Pepinster, Plombières, Soumagne, Spa, Sprimont, Theux, Thimister-Clermont, Trooz, Verviers et Welkenraedt) a présenté ce vendredi le compte 2019. Un compte extraordinairement bon puisqu’il est boni de 1.240.000 euros. Il s’explique par une diminution des dépenses en frais de personnel. « La zone fonctionnant avec de nombreux volontaires, en cas de calamités, les prestations augmentent fort. En 2019, nous avons eu moins de prestations » explique le major et commandant de zone Quentin Grégoire.
Plusieurs bourgmestres ont évidemment manifesté leur volonté de voir ce montant conservé pour l’année prochaine et soustrait aux différentes communes de la zone au moment du calcul de la dotation à verser. Pour l’instant, ce boni a surtout été mis en fonds de réserve le temps d’avoir une sérieuse discussion sur son affectation.
-55 % D’INTERVENTIONS
Il se pourrait que la clôture du compte de l’année en cours réserve également une bonne surprise au vu de la chute vertigineuse du nombre d’interventions pompiers durant la crise du Covid-19. « On était à 45 % d’interventions par rapport à la même période l’an passé » détaille Quentin Grégoire. Une situation qui a permis d’amortir les coûts liés au coronavirus. « Au début de la crise ça a été un peu tendu parce qu’on était face au risque de manque de matériel. On a dû en acheter et on a essayé de faire ça en commun pour avoir des ristournes. A priori, il ne devrait pas y avoir énormément de surcoût vu l’activité opérationnelle qui a été très réduite. »
V.M. dans LA MEUSE VERVIERS du 22 juin 2020