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Enfants

  • Les écoles de Plombières se mettent à la mobilité douce et à la consommation locale pendant une semaine

    Les établissements qu’ils soient libres ou catholiques s’associent pour inciter les enfants à se rendre à l’école à pied ou à vélo pendant une semaine, tout en les éveillant à la consommation équitable et en circuit court.

    Il n’est jamais trop tôt pour se soucier de la planète et ce ne sont pas les enfants des écoles, libres et communales, de Plombières qui diront le contraire. Du 22 au 26 avril, ils participent au « Printemps de la mobilité » et incitent papa et maman à laisser la voiture au garage pour se rendre à l’école à pieds ou à vélo.

    Les professeurs d’éducation physique et les directions de tous les établissements, de l’accueil à la rhéto, se sont rencontrés pour pérenniser cet évènement, auparavant organisé par le GAL. Ils observent en effet de vrais changements pratiques chez les adultes de demain, qui enfourchent beaucoup plus facilement leurs deux roues pour des trajets du quotidien.

    Cette semaine vise plusieurs objectifs tels que réduire les émissions de gaz à effet de serre, maintenir la bonne santé des enfants grâce à la pratique d’une activité physique, désengorger les abords d’école et voiries avoisinantes souvent saturées aux heures de pointe, participer au bien-être des enfants via un mode de déplacement convivial favorisant la sérénité et réduisant le stress, encourager l’autonomie des jeunes qui deviennent acteurs de leur propre mobilité et ancrer dès le plus jeune âge le réflexe du mode doux pour les déplacements quotidiens. En parallèle, tous les élèves de 4ème primaire suivront une formation de deux jours et demi à la conduite à vélo et la sécurité routière.

    Notons que cet événement sera également couplé avec une semaine dédiée aux produits locaux et/ou équitables. Chaque jour, les élèves recevront une collation locale et pleine de saveur offerte par la commune pour les récompenser de leurs efforts.

    (Par F.B dans LA MEUSE VERVIERS - 

  • Un mot d'ordre actuel: "Plantons!"

    Plantation-Pbs-3_300.gifLe mot d'ordre actuel est: "Plantons!" Et c'est à quoi s'est attelé le Conseil communal des Enfants de notre commune. Ils sont venus nombreux, parfois même avec un papa, une maman, un papy ou une mamy! Ils sont venus équipés: une bêche, une pelle, une truelle, des gants, un sécateur, etc. Ils n'ont pas peur de se salir les mains, ni leurs habits... tout ça pour leur propre avenir, finalement! Mais ils travaillent surtout en tant que représentants de leur génération et pour toutes celles et ceux qui se promèneront sur le RAVeL durant les prochaines décennies. Planter des arbres et arbustes permet d'apporter une protection contre le vent et le soleil tapant de l'été, ainsi qu'un gîte pour de nombreux insectes et oiseaux. Chaque haie pourra aussi absorber les eaux parfois trop abondantes des orages, empêchant ainsi des coulées de boue sur les routes et dans nos ruisseaux. Bref, il n'y a que des avantages à créer des haies!

     

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  • UNE SOLUTION TROUVÉE POUR LE MILIEU D’ACCUEIL D’ARLETTE RAXHON

    Capture-d’écran-2024-01-30-M-09.53.51.gifSuite à un problème administratif entre les communautés germanophones et francophones, le milieu d’accueil d’Arlette Raxhon a fermé ses portes à Plombières et celle­-ci a été licenciée par la communauté germanophone qui l’employait. Les ministres ont apparemment trouvé une solution mais il reste beaucoup de questions en suspens pour l’accueillante.

    Un article d'ADRIEN RENKIN dans LA MEUSE VERVIERS du 30 janvier 2024.

  • UN ACCORD POURRAIT PERMETTRE À ARLETTE DE RÉCUPÉRER SA CRÈCHE

    Capture-d’écran-2024-01-18-H-07.39.04.gifFin décembre, Arlette Raxhon, de Moresnet, apprenait qu’elle ne pouvait plus accueillir des enfants chez elle suite à un problème administratif. Elle habite du mauvais côté de la frontière linguistique. Un accord entre francophones et germanophones pourrait lui sauver la mise.

    Une page d'ADRIEN RENKIN, Journaliste, dans L'AVENIR - LE JOUR VERVIERS du 18 janvier 2024.

  • Du mauvais côté de la frontière linguistique

    Capture-d’écran-2024-01-06-M-07.45.59.gifUn article d'ALEXANDRE CUITTE dans LA MEUSE VERVIERS du samedi 6 janvier 2024.