Fin décembre, Arlette Raxhon, de Moresnet, apprenait qu’elle ne pouvait plus accueillir des enfants chez elle suite à un problème administratif. Elle habite du mauvais côté de la frontière linguistique. Un accord entre francophones et germanophones pourrait lui sauver la mise.
Une page d'ADRIEN RENKIN, Journaliste, dans L'AVENIR - LE JOUR VERVIERS du 18 janvier 2024.